Questions BrĂ»lantes đŸ”„ Le Love Health Center rĂ©pond Ă  vos questions sur l’audace et les fantasmes

Salut les coquines 😏

Cette semaine, Olivier du Love Health Center de Bruxelles rĂ©pond aux questions que vous avez posĂ© sur notre groupe Facebook sur le thĂšme de l’audace, de la libĂ©ration sexuelle et des fantasmes.

L’article est plus court que d’habitude mais variĂ©, puisqu’il rĂ©pond Ă  plusieurs questions.

Sans peut-ĂȘtre vous focaliser sur la question ou la rĂ©ponse, ou le contexte de la question, je vous invite toutes Ă  Ă©couter si certaines phrases ci-dessous vous parlent et Ă©veillent un bien-ĂȘtre en vous. Et dĂ©jĂ  juste cela, ce serait magique, car ça pourrait ĂȘtre l’étincelle d’une nouvelle phase de votre vie. En tout cas, telle est l’intention d’Olivier, toujours bienveillant et passionnĂ© par son travail.

Si vous dĂ©sireriez commencer un accompagnement par rapport Ă  votre vie sexuelle ou relationnelle, n’hĂ©sitez pas Ă  contacter le Love Health Center, ils seront ravis de vous accueillir et de vous offrir leur aide.

Sans plus attendre, je vous laisse donc dĂ©couvrir les rĂ©ponses d’Olivier Ă  certaines de vos questions :

« Comment rencontrer des personnes qui seraient intĂ©ressĂ©es par un trio ? C’est gĂȘnant Ă  demander, mĂȘme si ça ne devrait pas ! »

En fait, cela commence par chacun.e de nous, Ă  vous d’en parler. Imaginez, si quelqu’un.e vous le proposait, quel serait le meilleur scĂ©nario ? DĂ©taillez la mise en scĂšne dans votre tĂȘte ou mĂȘme sur papier. Pourquoi donc ne pas ĂȘtre actrice de cette Ă©nergie et la crĂ©er vous-mĂȘme? Allez-y. Vous pouvez proposer cette expĂ©rience Ă  quelqu’un.e qui vous attire. 

Certes, il y a de nombreuses possibilitĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux et moyens de communication modernes, et cela pourrait-ĂȘtre votre moyen d’exploration. Il y a aussi peut-ĂȘtre quelqu’un.e dans votre entourage qui vous attire et avec laquelle vous sentez une connexion ?

Soyez gĂ©nĂ©reuses avec les personnes que vous apprĂ©ciez. Parlez de ce qui vous touche. DĂ©voilez pourquoi vous voulez expĂ©rimentez un trio, quelle est votre intention. DĂ©jĂ , offrir de la place Ă  votre dĂ©sir, c’est Ă©norme. En l’accueillant et en l’exprimant Ă  quelqu’un.e, votre satisfaction ira en grandissant, votre confiance en vous aussi. Votre sĂ©rĂ©nitĂ© et joie Ă©galement.

« Comment savoir si les fantasmes doivent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s ou s’ils doivent rester du domaine du fantasme ? J’ai peur que l’expĂ©rience soit totalement diffĂ©rente de ce que j’avais imaginĂ© et que cela laisse des traces. »

Attention, la peur, c’est le meilleur moyen de louper la cible d’une belle expĂ©rience !
Regardez toutes vos peurs en face Ă  propos de ce fantasme, puis dĂ©cortiquez-les. Vous pouvez les lister pour en avoir une vision plus claire. Ces peurs risquent-elles vraiment de se produire ? Qu’est-ce qui, dans vos choix et comportements, ferait en sorte que ces peurs se matĂ©rialisent lors de votre expĂ©rience ?
Faites de vos peurs un outil de comprĂ©hension de vos fonctionnement intĂ©rieurs. Ensuite, transformez-les en outils d’empowerment. Ajoutez Ă  cette liste les aspects de vous-mĂȘme qui vous mettent en confiance, et invitez cette partie de vous qui sait, laissez-la s’exprimer. 

Est-ce que le fantasme doit rester un rĂȘve ou s’expĂ©rimenter ? Tout dĂ©pend de qui cela engage. Si vous, l’autre et toutes les personnes impliquĂ©es de prĂšs ou de loin en sortent bĂ©nĂ©ficiaires, grandies, avec plus de bien-ĂȘtre, alors je pense que ce n’est qu’un choix de votre part d’oser ou pas. Le fantasme (le rĂȘve d’un possible) est source d’une grande vitalitĂ© et de dĂ©couverte, d’expansion de soi. 

Commencez simple ; beaucoup de superbes fantasmes sont d’une simplicitĂ© incroyable. D’ailleurs, les plus belles expĂ©riences le sont parce qu’elles tĂ©moignent d’une Ă©vidence de la simplicitĂ©. « Less is more Â», comme on dit en slow sex et en pleine conscience. Enlevez l’inutile, jusqu’à ce que vous reveniez Ă  l’essentiel. 

Et puis, qu’est ce que ce fantasme vous apprend de vous-mĂȘme ? L’introspection est un outil vraiment trĂšs intĂ©ressant dans la rĂ©alisation et la comprĂ©hension des fantasmes.

« Comment ĂȘtre plus “dominatrice” ? J’aimerais inverser la tendance parfois et prendre le contrĂŽle mais je ne suis pas prise au sĂ©rieux parce que je doute de moi ! »

Dominer ou contrĂŽler ? ContrĂŽler ou simplement agir ? Être actrice de votre corps, de vos dĂ©sirs, de vos pensĂ©es qui vous donnent vitalitĂ© ? Être prise au sĂ©rieux ? 

Vous vous sentez l’envie d’explorer la dominatrice en vous ? Demandez-vous d’oĂč vient cette force en vous et Ă©coutez-vous. De quelle partie de votre corps cette envie Ă©merge-t-elle ? De vos reins ? De votre vulve ? De votre vagin ? De votre clitoris ? De vos jambes ? De votre fessiers ? De votre poitrine ? De vos cheveux, de votre coeur..? 

Cela vous en apprendra sur vous mĂȘme. Restez connectĂ©e Ă  cette partie de vous, tout au long de votre expĂ©rience. Soyez consciente de cette partie de vous et revenez-y autant que nĂ©cessaire dans l’expĂ©rience sexuelle. Écoutez votre dĂ©sir, comme vous pourriez prendre soin d’un enfant. Vous savez, un dĂ©sir, c’est au dĂ©but aussi fragile qu’une pousse, qu’une fine feuille qui Ă©merge d’une graine, et qui pourtant deviendra un arbre. Le dĂ©sir est vulnĂ©rable et demande votre soin, attention, amour, nourriture et “protection”. Quel que soit le dĂ©sir, que ce soit dominer, contrĂŽler, lĂącher prise, parler, gĂ©mir, hurler, bouger, jouir, Ă©jaculer, agripper, dĂ©sirer, sĂ©duire,  lĂ©cher, embrasser
 tout cela est dĂ©licat et fragile comme une pousse verte. C’est si facile de le dĂ©truire et en mĂȘme temps, quand on en est consciente, c’est aussi facile d’en prendre soin. 

« Moi c’est l’inverse. J’aimerais parfois que mon mec prenne un peu plus le dessus, mais je ne sais pas comment lui prĂ©senter la chose. »

Agir sur l’autre ? Oubliez. C’est le chemin de peine, de douleur, de dĂ©ception, de troubles, de dĂ©vitalisation, de problĂšmes en cascade. Qui veut ĂȘtre changĂ© ? Personne en fait. On a tous juste envie de se dĂ©ployer. On ne tire pas sur une plante pour la faire pousser (tiens c’est amusant, je reprend un mĂ©taphore similaire Ă  la question prĂ©cĂ©dente sur les dĂ©sirs). 

Alors oui, vous pouvez partagez vos envies en laissant l’autre totalement libre car attention, la pression est probablement le pire des ingrĂ©dients en sexualitĂ©.

Allez-y Ă©tape par Ă©tape, dans un Ă©tat d’esprit similaire Ă  celui que vous auriez si vous aviez une Ă©ternitĂ© pour arriver Ă  destination. Que ce soit aujourd’hui ou bien plus tard, soyez sereine. Si vous ne parvenez pas Ă  cet Ă©tat d’esprit aujourd’hui, il est probable que vous ayez accumulĂ© des dĂ©ceptions, des frustrations, que vous n’ayez pas encore Ă©coutĂ© et pris en charge vos dĂ©sirs. Et lĂ , c’est important de le conscientiser et d’agir au quotidien pour faire en sorte que vos frustrations quotidiennes ou rĂ©pĂ©titives n’aient plus lieu d’exister. Si vous ĂȘtes sous pression de votre impatience, frustration, peur de faillir, manque de confiance en vous, alors l’autre le ressentira et ne se sentira pas libre de dire oui ou non, ou d’ĂȘtre simplement curieux. 

Conseil : pour parler Ă  un mec, comme on est majoritairement fort tactiles, on aime ĂȘtre touchĂ©s, stimulĂ©s
etc. Utilisez les sens pour capter son attention et maintenir son attention. Par exemple, simplement dĂ©poser votre main sur son bras, ou son visage tĂ©moigne de votre pleine prĂ©sence et invite la sienne. S’arrĂȘter et toucher l’autre pour parler peut signifier toute l’importance que vous accordez Ă  cet instant de partage. Ne me croyez pas, testez-le et Ă©valuez par vous mĂȘme 😀

Au moment de votre Ă©change, partagez surtout l’effet que vous recherchez. Partagez en parlant de VOUS, pas des compĂ©tences, aptitudes ou capacitĂ©s de votre partenaire, ou d’une maniĂšre dĂ©guisĂ©e oĂč l’autre est remis en question. Offrez le dĂ©sir des sensations recherchĂ©es. Ensuite, laissez sa propre intelligence oeuvrer. Laissez-lui l’espace physique et mental pour trouver le moyen et le moment qui lui plaira. Vous pouvez mĂȘme lui dire en ce terme, explicitement, tout dĂ©pend de vos habitudes de dialogue. CrĂ©ez encore plus d’amour entre vous, de la complicitĂ© sincĂšre d’écoute, et de la joie de grandir ensemble. 

J’aime vos questions les filles, car vous savez, c’est ce pourquoi beaucoup de partenaires n’osent pas demander de l’aide Ă  un sexologue ou Ă  un coach, car iels ont peur que l’autre se sente jugĂ©, incompĂ©tent, et le prenne mal comme une critique. Alors que prendre RDV, prendre du temps, se dĂ©placer, s’offrir un moment et payer un professionnel tĂ©moigne de l’envie de progresser ensemble. Sinon, vous laisseriez tomber, et feriez autre chose de votre temps, Ă©nergie et argent. 

Il n’y a rien Ă  rĂ©parer, rien Ă  corriger, rien Ă  critiquer. Il y a juste Ă  s’ouvrir Ă  d’autres champs de possible et les expĂ©rimenter. 

« J’aimerais oser parler un peu plus pendant l’acte, mais quand j’essaye, je me sens ridicule, ça me dĂ©concentre et j’arrĂȘte. J’aimerais arriver Ă  lui dire “j’aimerais ceci ou cela”.  Je me suis toujours dit qu’il devait deviner, que c’Ă©tait une part de mystĂšre et qu’il devait Ă©couter (les gĂ©missements, par exemple). Mais, avec le temps et l’expĂ©rience, j’aimerais que l’acte ne soit pas un challenge.. plutĂŽt un bon moment oĂč chacun exprime ses envies. Quand j’essaye le rĂ©sultat reste le mĂȘme : je balbutie quelques mots, je rougis et je stoppe. Peut-ĂȘtre que parler pendant l’acte ce n’est pas fait pour tout le monde ? Merci pour votre rĂ©ponse ! »

Vous pourriez vous sentir ridicule, en effet, quand par exemple vous vous observez ; alors, vous ĂȘtes spectatrice et donc dĂ©connectĂ©e de vos sensations. Si vous parlez, si vous dĂ©sirez parler, gĂ©mir, c’est par plaisir de parler, pour le plaisir des sensations qui sont liĂ©es Ă  votre parole. Il n’y a que la sensation qui compte, donc incarnez cette sensation. Et lĂ , tout est naturel et devient possible dans la jouissance ; c’est un exercice d’apprentissage mental. 

Vous pouvez faire l’amour pour vous sentir d’une maniĂšre ou d’une autre, paraitre comme ceci, comme cela, pour correspondre, faire comme, espĂ©rer plaire Ă  l’autre, ou vous dĂ©connecter de votre corps. Ce sont bien souvent des voies sans issue, source de manque. 

Soyez juste la sensation, identifiez-vous Ă  la sensation et concentrez-vous sur la sensation uniquement. Le regard n’a aucune importance ici ; vous ĂȘtes belle Ă  travers la sensation. Et c’est lĂ  que vous vous nourrissez, c’est lĂ  qu’est votre boussole intĂ©rieure ; celle du ravissement. 

« Comme beaucoup de femmes, lorsque je suis dans l’acte, je suis dans mon corps, je ferme les yeux et je me laisse aller, je frĂ©mis au contact de sa peau, de ses lĂšvres, d’un soupir… Mais Monsieur est beaucoup plus mĂ©canique (ce n’est pas de sa faute le pauvre) ce qui fait que parfois, je sors de mon corps et je me demande “attends, mais qu’est ce qu’il fout, lĂ  ?!” ça se voit sur mon visage et il se bloque… J’aimerais l’initier au cĂŽtĂ© un peu plus tantrique, Ă  la jouissance par les petits frĂ©missements mais il est assez bornĂ©… Comment se retrouver Ă  mi-chemin sans lui imposer quelque chose qu’il n’a pas l’air de comprendre ou de vouloir comprendre ? Je suis sĂ»re qu’il kifferait mais il y a un certain blocage de sa part.. »

Nommer la rĂ©alitĂ© libĂšre, mettre les mots sur ce qu’il se passe rĂ©ellement libĂšre une grande Ă©nergie. Dire n’est pas juger, ni critiquer, c’est mettre des mots sur ses propres sensations. Il faut ĂȘtre honnĂȘte avec soi et l’autre, et nommer ce que l’on ressent comme par exemple : « Tu vois, Ă  un moment donnĂ© je m’observe et ça se voit sur mon visage. Je me dĂ©connecte car je n’éprouve plus de sensations, la sensation navigue et part ailleurs. Alors, j’arrive dans ma tĂȘte et plouf, je suis dĂ©connectĂ©e de mon corps. Et lĂ , j’ai juste envie de changement pour me sentir dans la sensation avec toi. Sentir ta peau plus que tout autre chose. Laisser le dĂ©sir se rĂ©veiller, revenir dans mon corps sous une forme inattendue. Sans attente. Â»

Et puis, ajoutez aussi de la légÚreté. Prenez-le avec le sourire (humour, auto observation cocasse) pour que la personne ne se sente pas critiquée dans son intimité.

« Comment faire comprendre Ă  l’autre qu’un nouveau fantasme n’est pas un reproche que l’autre n’est pas bon au lit ? En d’autre mots, comment introduire un nouveau fantasme sans blesser l’autre ? »

Le partage de dĂ©sir et de fantasme c’est super intime et source de complicitĂ©. Les dĂ©sirs changent en permanence, c’est juste un fait de vie. Rien Ă  juger ni Ă  questionner, c’est juste un Ă©tat de fait ; il n’y a rien de bon, ni de mauvais. AprĂšs une journĂ©e intense, on a envie de dormir. Et aprĂšs le calme, on a envie d’excitation. AprĂšs l’intensitĂ© de son, on a envie de silence. Tout est une succession logique, et un nouveau dĂ©sir n’est pas un reproche mais une intelligence de vie. Une intelligence naturelle. Une intelligence du corps, de l’esprit. Un phĂ©nomĂšne spontanĂ©. 

Aussi, si vous avez envie de partager le fantasme, soyez surtout curieuse des questions de l’autre. La vie commence par un OUI. Un « Oui, ET Â» au lieu de « Oui, mais Â». Un oui de participer. Et chacun est libre dans ce processus. Partager est dĂ©jĂ  une joie, sinon, Ă  quoi bon le partager ? 

Partager un fantasme c’est dire Ă  l’autre que vous l’avez choisi, que vous aimeriez qu’il puisse ĂȘtre votre complice. C’est justement un aveu de compĂ©tence, d’aptitude, de sĂ©lection. Cela veut dire que tu le choisis pour ces qualitĂ©s afin de te faire dĂ©couvrir de nouvelles sensations ; il y a de quoi ĂȘtre flattĂ© ! Si tu le pensais nul, tu n’aurais pas tant envie de lui proposer de nouvelles choses.

Conseil: Lisez ce paragraphe avec votre partenaire et commentez-le. Ça pourrait-ĂȘtre une maniĂšre de parler d’envie ensemble, et de savoir oĂč vous en ĂȘtes. 

Les prochaines questions ont Ă©tĂ© posĂ©es anonymement par une seule et mĂȘme personne : 

« Comment faire en sorte que l’autre parle pendant le sexe si nous ça nous excite ? J’ai dĂ©jĂ  essayĂ© de demander sur le moment, mais ça le bloque complĂštement et moi ça me bloque qu’il ne le fasse pas, j’ai l’impression que c’est un manque de volontĂ©. »

Ne semez pas vos envies dans le jardin des autres en exigeant que l’autre les entretiennent pour qu’elles fleurissent. 

Demandez dĂ©jĂ  la permission : « puis-je te partager un dĂ©sir? Â» Ensuite, dites l’effet et le bien-ĂȘtre que cela vous procure. 

Dire que l’autre manque de volontĂ©, c’est en soi une interprĂ©tation, un jugement. 

Il est trĂšs probable que si la personne parle dĂ©jĂ  relativement facilement d’émotions et de sensations dans la vie de tous les jours, elle sera plus Ă  l’aise de franchir le cap dans la sexualitĂ©. Mais imaginons que non ; alors le challenge est dĂ©multipliĂ©, et ce n’est peut-ĂȘtre pas une source de plaisir pour l’autre.

Parler en intimitĂ© et pendant l’acte, c’est trĂšs intime. C’est dĂ©jĂ  haut sur l’échelle de l’audace, de la confiance en soi, en l’autre, dans le non-jugement. Plus on ajoute d’ingrĂ©dients, plus c’est complexe.

Vous pourriez déjà essayer de parler de maniÚre érotique, complice, sexy, vulnérable, émotionnelle, sensationnelle de maniÚre globale sur des sujets variés, comme activité principale de connexion entre vous. Essayez cela.

Offrez vous un moment, par exemple nus, oĂč le jeu est juste de partager et de tester des mots, des Ă©changes verbaux qui plaisent Ă  l’autre. DĂ©jĂ  ça, c’est se faire l’amour. Un mot pĂ©nĂštre votre esprit, il faut donc l’accueillir et le laisser Ă©veiller, propager une multitude de sensations corporelles. Les auditives comprendront probablement trĂšs bien, tandis que les visuels devront s’expĂ©rimenter. Mais une personne visuelle peut toujours ajouter une corde Ă  son arc, celle de l’audition.

En tout cas, je vous le souhaite de tout coeur.

Olivier  

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