Salut les nénés,
Aujourd’hui, it’s all about you ! The WellNest s’est associĂ© Ă FreetheBoobies(eh oui, ça existe, et c’est trop cool), un site consacrĂ© Ă la mise en valeur du sein et Ă sa prise d’indĂ©pendance de ces cages que nous nous imposons trop souvent pour les mauvaises raisons.
Beaucoup de mythes persistent autour du port du soutien-gorge et du nĂ©nĂ© en gĂ©nĂ©ral, et cet article a pour but de dĂ©mystifier pas mal des idĂ©es reçues qui circulent depuis trop longtemps Ă propos du soutif et de sa rĂ©elle utilitĂ© (Ă moins qu’il n’en ait…aucune ?)
Sans plus atteindre, plongeons donc dans l’univers passionnant du dĂ©colletĂ© et des meilleures maniĂšres d’en prendre soin au naturel :
Les seins ne risquent-ils pas de pendre plus vite sâils ne sont pas soutenus ?
Porter rĂ©guliĂšrement des soutien-gorges, câest leur dĂ©lĂ©guer une grande partie du poids des seins, qui nâont ainsi plus la nĂ©cessitĂ© de se maintenir par eux-mĂȘmes. Ă son tour, il exerce une pression sur les Ă©paules via les bretelles, ce qui modifie lâĂ©quilibre des forces et peut occasionner des problĂšmes de santĂ©. Du coup, les seins deviennent “fainĂ©ants” et nâassurent plus lâobligation de rester en forme.
Les ligaments de Cooper, câest un rĂ©seau de ligaments trĂšs fins organisĂ©s en “filet de suspension”, qui reprĂ©sente naturellement le principal moyen de maintien de la poitrine. Ils jouent un rĂŽle important quant Ă la forme du sein. En portant trop de soutifs, ces ligaments sâĂ©tiolent et le relĂąchement de la poitrine sâaccĂ©lĂšre.
Le SG est une prothĂšse utilisĂ©e hors de tout diagnostic mĂ©dical et cela passe au dessus de la tĂȘte de presque tout le monde. Si on se comportait de la mĂȘme façon avec des prothĂšses de genou, les lunettes ou des semelles orthopĂ©diques, etc, on aurait de trĂšs gros problĂšmes.
Avec une taille de SG inadaptĂ©e, ce qui est le cas chez la majoritĂ© des femmes, les seins sont souvent comprimĂ©s. La nuance, câest que de base la poitrine nâa pas besoin de correction mĂȘme si elle sâaffaisse. Clairement, les seins ne tombent pas plus vite sans SG.
à voir : les conférences du docteur Jean-Denis Rouillon à ce propos.
« Une observation que j’ai faite, c’est que dans les tribus oĂč les femmes se baladent seins Ă l’air, ils pendent quand mĂȘme super fort. Je vois rarement une photo d’une nana avec des seins super rebondis… Du coup j’ai tendance Ă en dĂ©duire que c’est car ils sont pas soutenus⊠»
En cherchant un peu on trouve aussi des femmes avec de belles poitrines. Pour ĂȘtre un peu piquant, je dirais que le mythe du sauvage qui ne prend pas soin de lui a encore la vie dure. On trouve souvent ce quâon a envie de voir. Les mĂ©dias aiment bien nous montrer des poitrines usĂ©es et pendantes, sans rien expliquer du pourquoi du comment. Le bandage des seins pour les allonger est une pratique courante dans certaines ethnies africaines, afin de nourrir lâenfant portĂ© dans le dos. Dâautres pratiquent mĂȘme le “repassage des seins”, coutume des plus horribles ! Lâenvironnement (soleil) et lâalimentation (carences) joue un rĂŽle important dans la tenue des seins, ainsi que le nombre de grossesses, et la gĂ©nĂ©tique.
Pour en savoir plus sur lâargument des tribus indigĂšnes, je vous invite Ă consulter mon article dans la partie “argument des tribus indigĂšnes”.
Sous une approche psychologique, je crois que lâon essaie dĂ©sespĂ©rĂ©ment encore aujourdâhui de justifier lâusage des soutien-gorges, car câest une norme culturelle chez nous, dont on a bien du mal Ă se dĂ©faire. La rĂ©alitĂ©, câest quâon a la chance de pouvoir manger des lĂ©gumes, boire de lâeau Ă volontĂ©, utiliser toutes les crĂšmes hydratantes que lâon veut (et les fabriquer nous-mĂȘme), profiter dâun climat tempĂ©rĂ©, etc. Je crois quâon ne rĂ©alise pas bien la chance que nous avons ici !
Paradoxalement, on prĂ©fĂšre se gĂącher la santĂ© avec le tabac, la junk food, le sucre, les soutien-gorges push-up, etc plutĂŽt que de revenir Ă une logique de pleine santĂ©. Il y a aussi beaucoup de seins abĂźmĂ©s et/ou tombants par chez nous, mais on prĂ©fĂšre sâinquiĂ©ter de femmes seins nus qui nâont rien Ă cacher, que de lâaccepter comme une rĂ©alitĂ©. Ce nâest pas pour rien si le modĂšle des seins formatĂ©s des magazines est contestĂ© : on ne montre pas la diversitĂ© des seins, et encore moins les dĂ©gĂąts dâune coutume locale que lâon appelle le porte-sein. Avec une mauvaise hygiĂšne de vie tout peut aller trĂšs vite, ou plus doucement suivant la loterie de la gĂ©nĂ©tique. Mais dans tous les cas câest en prenant soin de soi que lâon se prĂ©serve longtemps.
Les seins tombants des tribus torse-nues nous ramĂšnent Ă nos angoisses, câest comprĂ©hensible, mais il faut faire la part des choses. Il y a tout un mode de vie derriĂšre.

Comment appliquer le no-bra Ă une poitrine opulente ?
Le principe de base est le mĂȘme pour les poitrines opulentes que pour les menues. On remet simplement la poitrine dans son Ă©tat naturel, non portĂ©e par un accessoire, ce qui lui permet de re-fonctionner normalement. Tout ira mieux Ă partir de lĂ .
Comme je lâexplique dans mon guide sur le no-bra, le problĂšme des gros seins, câest que justement, ils pĂšsent lourd, et forcĂ©ment la mĂ©canique de la rĂ©adaptation prend davantage de temps. Le maĂźtre-mot câest dâaccepter de prendre son temps, les rĂ©sultats ne sont pas immĂ©diats.
Je détaille toute la méthodologie au sein de mon guide (sans mauvais jeu de mots) !
Connais-tu des exercices en particulier pour une poitrine ferme ?
Alors dĂ©jĂ , cassons le mythe “faites des exercices des pecsâ pour raffermir la poitrine”. Le renforcement des pectoraux, câest bien pour les pectoraux, pour lâallure et pour la santĂ©, mais parfaitement inutile pour les seins. Anatomiquement parlant, la poitrine est simplement attachĂ©e aux pectoraux. Avoir les pectoraux solides ne changera pas la nature du sein.
Les bains dâeau froide raffermissent la chair. La baignade rĂ©guliĂšre dans un lac, une riviĂšre, Ă la mer, ou en dernier recours Ă la piscine sont indiquĂ©es. On peut mĂȘme pratiquer en hiver, Ă chacune de voir si elle souhaite tenter lâexpĂ©rience, câest louable ! Pour info, Wim Hof, surnommĂ© “Ice Man” a permis de faire avancer un peu plus la recherche sur les bienfaits des bains froids sur la santĂ© et lâimmunitĂ©. Le froid stimule la tonicitĂ© des seins, câest aussi pour cela quâils sont plus fermes sans soutien-gorge, car leur tempĂ©rature diminue.
Le massage quasi-quotidien des seins est la base que toutes les femmes devraient pratiquer en routine, que se soit en auto-massage ou fait par leur partenaire. Le massage drainant, câest-Ă -dire appliquĂ© surtout en surface, permet Ă la lymphe et au sang de bien circuler et Ă©loigne le risque de kystes. Quelques minutes suffisent. On peut pratiquer Ă sec ou avec une huile. Dans ce cas on peut opter pour la cĂ©lĂšbre huile de Bellis, ou le macĂ©rat de pĂąquerettes, Ă rĂ©aliser soi-mĂȘme tellement câest facile ! Effet drainant garanti ! Il y a aussi de bonnes choses du cĂŽtĂ© des huiles essentielles diluĂ©es dans des huiles vĂ©gĂ©tales.
Lâexercice de base est le nobra, Ă pratiquer Ă volontĂ©. Certains sports doux pour la poitrine peuvent se pratiquer sans brassiĂšre : marche, escalade, gymnastique⊠et stimulent sans risque dâabĂźmer les seins.

Connais-tu des astuces pour celles qui aiment le no-bra mais pas spĂ©cialement leur poitrine ? Des espĂšces de cache, peut-ĂȘtre ?
Je ne vois pas vraiment dâastuce. Apprendre Ă sâaimer est lâunique condition pour sâaccepter je crois, et câest un long chemin pour certaines femmes complexĂ©es.
Ah si, il y a les cache-tĂ©tons, mais câest selon moi vraiment une aide sporadique de transition, ou histoire dâĂ©chapper au commentaire pourri dâun collĂšgue Ă la langue pendue.
Quand on y rĂ©flĂ©chit, il y a un cĂŽtĂ© assez ridicule Ă se mettre des caches-tĂ©tons⊠et tĂ©moigne des peurs et des jugements que portent beaucoup de femmes sur elles-mĂȘmes. Je ne les condamne pas, câest juste dommage pour elles si dâordinaire elles utilisent ce genre dâartifices et nâosent pas aller jusquâau bout de la logique. Câest faire le travail Ă moitiĂ© en quelque sorte, se censurer, en attendant que la sociĂ©tĂ© toute entiĂšre soit dâaccord avec les seins libres (nobra), ce qui nâest pas pour demain, car il y aura toujours des oppositions.
Il faut apprendre Ă vivre avec, vivre pour soi, câest tout.
Comment Ă©viter la gĂšne/les regards indiscrets liĂ©s au fait que nos tĂ©tons soient visibles Ă travers nos vĂȘtements, surtout dans un cadre officiel/professionnel ?
Lâentreprise est trĂšs/trop souvent un lieu dâoppression, ou la logique dâentreprise prime sur le libre arbitre. La subordination en particulier nous dispose dans une posture dâinfĂ©rioritĂ©, on se sent obligĂ© dâobĂ©ir et les habits peuvent ĂȘtre contraignants pour les femmes (talons, chemisierâŠ) comme pour les hommes (costume cravate façon pingouin), ce que je dĂ©plore bien entendu, et auquel je nâadhĂšre pas.
Je parle des alternatives discrĂštes aux soutien-gorges ici. On trouve souvent une solution, ou au moins un compromis confortable.

Dans quelle mesure est-ce que du no-bra « Ă mi-temps » a des effets positifs ? C’est Ă dire, no-bra en rentrant du boulot et le weekend, par exemple.
Tout simplement parce que tant que la poitrine est libre, elle reprend ses droits. Chaque heure sans SG reprĂ©sente de la contrainte en moins pour les seins. Donc le sang et la lymphe qui peuvent circuler librement, ce sont des problĂšmes en moins. Moins de contraintes, câest aussi moins de stress. Ces temps morts sont un moment de respiration, une nĂ©cessite vitale.
En thĂ©orie, et pour schĂ©matiser, les dangers des soutien-gorges suivent une courbe exponentielle en fonction de la durĂ©e dâutilisation. De mĂ©moire, il existerait un seuil thĂ©orique de 12h/j au-delĂ duquel le port du soutien-gorge devient significativement dangereux, en particulier sur le risque du cancer du sein qui dĂ©colle littĂ©ralement. Le problĂšme, câest quâentre le dĂ©part au travail et le retour, on arrive vite aux 12h. Le nobra Ă mi-temps est trĂšs bon puisquâil Ă©vite de rentrer en “zone rouge”, encore plus grĂące aux weekends qui contrebalancent la semaine.
Quand on atteint les quasi 24h/24 chez certaines femmes qui ne lâenlĂšvent que pour la douche, le rĂ©sultat est catastrophique, on cumule tous les dangers : seins qui tombent, vergetures, kystes, dĂ©formation des chairs, etc. En revanche avec un profil Ă 6h/j en semaine et nobra le weekend, soutien-gorge non compressif, on a peu de chance de dĂ©velopper des problĂšmes sĂ©rieux, mĂȘme si on ressent de lâinconfort.
Et il faut encore parler de lâinconfort, car le seuil dâinconfort varie beaucoup dâune femme Ă lâautre. Câest un point qui nâest pas facile Ă interprĂ©ter. Il semblerait que, paradoxalement, les femmes ayant le moins dâinconfort Ă porter des SG compressifs soient les plus exposĂ©es Ă des complications sĂ©vĂšres sur le long terme (cancers notamment), câest-Ă -dire que leur corps ne donne pas lâalerte et elles ne perçoivent donc pas le danger de se saucissonner de la sorte ! Le seuil dâalerte arrive tardivement, avec des kystes et une poitrine dure, gonflĂ©e, douloureuse. Ce nâest pas forcĂ©ment que ces femmes ne sâĂ©coutent pas, il est possible que le corps atteint de “mutisme” nâait pas donnĂ© lâalerte⊠ou que les signaux faibles soient passĂ©s inaperçus. Complexe tout ça…
Bien heureuses les femmes sensibles qui rejettent tout Ă©lastique contre leur poitrine ? Probablement oui si on suit cette logique. Ressentir de lâinconfort est une alerte bienvenue, il faut savoir lâĂ©couter. Quant Ă celles qui ne ressentent rien de spĂ©cial, on ne peut pas affirmer ou Ă©carter un danger particulier, mais je leur recommande de se mĂ©fier par prĂ©caution et de “se forcer” Ă ne pas en porter Ă la maison. Câest un rĂ©flexe santĂ©.
Si tu veux en savoir plus, je tâencourage Ă lire le livre de Sydney Ross Singer et Soma Grismayer : le soutien-gorge et le cancer du sein, une lingerie de sĂ©duction dangereuse. Ils parlent justement de ces aspects importants.
Que peux-tu nous dire Ă propos de lâĂ©volution des mentalitĂ©s Ă propos du no-bra ?
Je te rĂ©pondrai dâun point de vue essentiellement masculin. DĂ©jĂ dâemblĂ©e, je crois que les hommes sont bien plus tolĂ©rants sur le nobra que les femmes. Les critiques viennent surtout des femmes, par jalousie de libertĂ©, par conformisme social, pour tenter de nuire (surtout en entreprise, monde de lâintrigue par excellence) ou juste par bĂȘtise.
Les hommes rĂ©agissent diffĂ©remment, car Ă©videment ils aiment les seins, en particulier dans une sociĂ©tĂ© mammophile, ils seront donc moins enclins Ă la critique. Une raison un peu oubliĂ©e Ă tort, tient au fait que les hommes ont naturellement une plus grande facilitĂ© Ă la transgression des normes que les femmes. Le nobra est donc potentiellement davantage valorisĂ© par de nombreux hommes. Par ailleurs, une femme en nobra peut faire fantasmer par son cĂŽtĂ© libre, certains hommes adorent, et ce nâest pas forcĂ©ment le cĂŽtĂ© sexy qui est le plus important, mais cet esprit dâaffranchissement.
Il est difficile de faire le portrait dâune sociĂ©tĂ© toute entiĂšre, surtout la notre qui Ă©volue trĂšs vite, multiculturelle, avec des diffĂ©rences importantes entre les individus. Globalement oui je crois que le nobra est de mieux en mieux acceptĂ©. Tu trouveras toujours des gens pour critiquer, mais ceux-lĂ , jâai envie de dire, on sâen fout, il nây a rien Ă faire pour eux/elles. Depuis 2014, au lancement du blog, les choses ont beaucoup Ă©voluĂ©, on en parle beaucoup sur les rĂ©seaux sociaux et les blogs, ça devient mĂȘme presque totalement surfait ! Mais pour moi ce qui compte, câest le factuel, ce sont les actes. Il y a une diffĂ©rence entre les femmes qui sont OK avec le nobra des autres, et les femmes qui le pratiquent. Une question dâimplication et dâidentification Ă la notion mĂȘme des seins libres.
On se pose sur un banc dans la rue et on observe. Il suffit de voir le nombre de femmes qui pratiquent le nobra, surtout en Ă©tĂ©, dans les grandes villes. Câest encourageant !
Mais je crois que lâon assiste aussi Ă de grands paradoxes. Dâun cĂŽtĂ© il y a de moins en moins de topless fĂ©minin sur les plages françaises, pour plein de raisons, de lâautre une progression significative du nobra chez les jeunes femmes. Le confinement a confirmĂ© cette progression Ă lâabri des regards, et j’aborde ce sujet ici.
Jâen revient Ă mon article topless et braless sont deux pratiques qui ne disent pas la mĂȘme chose. Ce nâest pas forcĂ©ment le mĂȘme public.
Les seins sont reliĂ©s Ă une notion de sexualitĂ©, ce qui pour moi a une origine biologique (psychologie Ă©volutionniste). Les seins sont Ă la fois sexuels, maternels, rĂ©confortants, allaitants, organes sensoriels, mais aussi reliĂ©s au chakra du cĆur et aux mĂ©ridiens dâĂ©nergies. Ce sera le thĂšme dâun prochain article dâailleurs.
Le problĂšme câest que les individus h/f ont Ă©tĂ© façonnĂ©s par la publicitĂ© et la sociĂ©tĂ© marchande, au point oĂč seule la dimension sexuelle du sein est prise en compte par certain(e)s. Le porno est aussi passĂ© par lĂ pour dĂ©truire les cerveaux⊠Nous vivons dans ce que jâappelle une sociĂ©tĂ© mammophile contrariĂ©e : plus on en a de boobs le virtuel, moins on en a dans le rĂ©el.
Les femmes ont le droit de ne pas porter de soutien-gorge si elles se sentent mieux sans. Aucune loi ne punit encore une femme sans soutif de 135⏠dâamende. Pour les adolescentes, porter un soutien-gorge est une injonction difficilement opposable ; pression au collĂšge, le regard des autres, les critiques, la mĂšre qui oblige sa fille Ă en porter, le besoin dâintĂ©gration, etc, câest difficile de faire sans. Mais lorsquâon est adulte, par dĂ©finition on devient mature et maĂźtre de ses choix. En 2020, ce qui est regrettable, câest de voir que peu de femmes osent se libĂ©rer, sous prĂ©texte de “câest la faute de la sociĂ©tĂ©”. Je nâadhĂšre pas du tout Ă cet argument. La sociĂ©tĂ© nous formate oui, mais lorsquâon est adulte, on se prend en main et on la change en se changeant soi-mĂȘme. On ne peut pas tout lui mettre sur le dos. Ă lâheure dâinternet, toutes les jeunes femmes ont entendu parler du nobra. Elles ont le choix dâessayer. Par comparaison, on adhĂšre, ou pas, câest le choix de chacune. Je comprends que le soutien-gorge ait quelque chose de rĂ©confortant et quâil protĂšge des regards, mais dans la vie il faut faire ses propres choix.
Je remarque que le conformisme est trĂšs prĂ©sent encore aujourdâhui, on se trouve des raisons pour ne pas faire les choses, en tous domaines. Les seins sont trĂšs rĂ©vĂ©lateurs de notre sociĂ©tĂ© malade en fin de compteâŠ
Pourtant il nây a pas besoin dâautre chose que de volontĂ© pour avancer. đȘ

Et voilĂ les porteuses de nĂ©nĂ©s, j’espĂšre que cet article vous aura apportĂ© un Ă©lan de libertĂ© ainsi que l’envie de mettre en valeur votre divine poitrine đ
Love sur vous đ